ÓPALO Project
Il est dit que l’opale, considérée comme la « pierre de l’espoir » des artistes, représente le changement de couleur.
C’est grâce à sa palette multicolore que Léa Llinares, danseuse, et Alex Carrasco, multi-instrumentiste,
décident d’apporter d’autres pigments au flamenco.
Une grande bouffée d’air, un reflet de clarté, la soif de liberté, un sentiment d’existence, des rêves plein les souliers…
Mêler sans diluer, avec nuance et tolérance, graffer des états âmes à l’aquarelle, mettre de la gouache dans les coutumes,
saoûler nos boussoles jusqu’à ce qu’elles en aient le vertige...
Bousculer les sonorités traditionnelles en les confrontant à l’univers onirique des synthétiseurs vintage, aux battements organiques de la batterie, à la poésie enivrante d’un kalimba ou encore aux ritournelles d’un vieux piano essouflé…
Accompagnés de Cristina Tovar (chant, palmas), José Sanchez (guitare) et Jérôme Martineau (batterie, sampler),
ce tableau aux teintes audacieuses et aux textures quelque peu rugueuses, promet d’être émouvant et surprenant.
« Gira y luce, podríamos haberlo visto antes, pero lo importante es estar ya subidos ir a la escala siguiente...movimiento que nos ha de llevar, palma que da la base,...que no pare el brillo cada vez que un nuevo color marca el ritmo...movimiento continuo y sol que nace, otra vez, sol que nace » (Ópalo Project, Nuria Herrera)